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Notre collection Tableau Japonais sur Tableaux du Monde.
L’art japonais, un art évolué et distinctif. La peinture japonaise est l’art du Japon. Il s’agit d’une image ou d’un dessin réalisé à la peinture, ou d’une œuvre d’art peinte selon la méthode traditionnelle japonaise. En matière de tableau japonais, il existe de nombreux styles et genres d’art propre à chaque époque, mais les principes fondamentaux de l’esthétique sont basés sur les pratiques d’il y a plus de mille ans. Les styles de peinture traditionnels japonais les plus connus sont le Yamato-E, le style SUMI-E et le style UKIYO-E.
Influence réciproque avec les peintures chinoises et occidentales
Au cours de l’histoire de la peinture japonaise, la culture et les pratiques chinoises ont beaucoup influencé la peinture bouddhiste, la peinture à l’encre des paysages et la calligraphie. Les tableaux japonais en ont toujours été inspirés. À partir de la fin du XVIe siècle, les peintures et le tableau japonais ont été importés dans les pays européens, et de nombreux artistes européens en ont été influencés.
La peinture japonaise ne cesse d’évoluer
L’une des principales thématiques du tableau japonais est la mise en valeur de scènes de la vie quotidienne, scènes narratives qui sont le plus souvent composées de plusieurs personnages. Ce style traditionnel s’est perpétué jusqu’à aujourd’hui dans les Manga et animé.
La peinture japonaise est envoûtante et très appréciée lorsqu’il s’agit de décorer l’intérieur. Mais c’est également un type d’art qui peut être un peu déroutant pour les personnes qui font leurs premiers pas dans l’art mural et qui veulent en apprendre davantage à son sujet. Les différentes écoles et styles de peinture, la variété des supports, les racines profondes dans le bouddhisme zen et l’utilisation de termes spécifiques de la langue japonaise font que cette forme d’art n’est pas toujours facilement accessible aux Occidentaux.
Pour comprendre la peinture japonaise, il faut d’abord savoir qu’elle a toujours été divisée entre trois grands courants – chinois, japonais et occidental.
L’histoire de la peinture japonaise
Comme la plupart des formes d’art, les débuts de la peinture ont été marqués par l’influence chinoise et coréenne. En s’imprégnant les styles et des exemples extérieurs, le Japon n’a pas été simplement « imitatif ». Ces inspirations ont toujours été adaptées à l’esprit japonais, fondé principalement sur l’admiration de la beauté de la nature. Petit à petit, de nouveaux styles, notamment le style japonais, ont été développés et plusieurs écoles de peinture ont ainsi été créées. Chaque école pratiquait son propre style, mais l’influence chinoise est restée dominante jusqu’au début de la période Edo. Dès le début, l’art japonais se distingue par sa simplicité et sa pureté qui sont ses caractéristiques essentielles.
Il existe 3 grands styles de peinture japonaise connus du grand public :
YAMATO-E
Une expression de l’esprit japonais appelle Yamato-e, « L’art japonais pur ». Ce style a vu le jour au milieu de la période Heian ; bien que les peintures de cette période représentent des scènes religieuses, le thème principal du style Yamato-e sont les scènes historiques, les thèmes de l’aristocratie, les illustrations d’œuvres littéraires, les portraits et les scènes de la vie quotidienne.
La peinture de style Yamato-e se caractérise par un dessin raffiné, des couleurs légères et délicates, le « Kasumi » (brume), des formes simples, des visages aux contours noirs, des proportions irréelles (un homme près d’une maison – plus grand que la maison) et l’absence d’ombres et de perspective.
Le style Yamato-e n’a jamais complètement disparu. Il a continué à se développer au cours des siècles suivants, même après l’apparition du style Ukiyo-e et des gravures sur bois ; d’ailleurs, ils se sont parfois mélangés.
SUMI-E
Parallèlement à la peinture Yamato-e, une autre style, totalement opposé, se développe : la peinture à l’encre monochrome, SUMI-E ou SUIBOKU. Elle est très proche de l’art des dynasties chinoises Song et Yuan et est donc appelée KARA-E ou KANGA, « peinture chinoise ». Tant en Chine qu’au Japon, elle s’est développée sous la forte influence du bouddhiste zen et de son rapport particulier à la nature.
SUMI-E est un art utilisant exclusivement des lignes et des couleurs allant du noir complet au blanc. Il se caractérise par la perfection et la simplicité, la pureté et l’absence d’ornement. Il utilise souvent la forme du rouleau vertical (KAKEMONO) sur lequel il est peint qu’une seule scène (portrait, paysage ou fleurs).
UKIYO-E
Le troisième grand style japonais, dont le nom signifie « images du monde flottant », est apparu au XVIIe siècle et s’est épanoui au début de la période Edo. Les scènes réalistes de la vie quotidienne d’un homme ordinaire en deviennent le thème récurrent. Les peintures Ukiyo-e représentent souvent des scènes du quartier des divertissements de la ville d’Edo (aujourd’hui Tokyo) et leur popularité est associée à un fort développement des célèbres gravures sur bois japonaises. Celles-ci ont d’abord reproduit les œuvres Ukiyo-e en une seule couleur, puis en deux couleurs et enfin en plusieurs couleurs.